Couverture de mon 17ème opus de poésies - autoédition Féline Harfang - août 2023

Couverture de mon 16ème opus de poésies
Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang


EXPOSITION EN HOMMAGE A LA FEMINITE ET A LA NATURE

Article de presse paru dans La Nouvelle Republique le 09/09/2022

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/commune/argenton-sur-creuse/exposition-en-hommage-a-la-feminite-et-a-la-nature

Indre. Gargilesse.

Féline Harfang, poétesse, performeuse et autophotographe, expose ses autoscénophotographies très grands formats. Féline Harfang a choisi d’exposer dans un lieu à l’état brut : LA GRANGE AUX FEES, la dernière grange du centre-bourg de Gargilesse-Dampierre, inscrit sur la liste des plus beaux villages de France. « Cette grange est restée dans son jus, sans jamais avoir été restaurée. Le sol est en terre battue, l’étable contiguë et le grenier à foin est comme dans l’ancien temps », indique Féline Harfang. Elle a choisi ce lieu privilégié par son authenticité pour exposer ses photos, poèmes et autophotographies, réalisées exclusivement par ses soins, en hommage à la féminité et à la nature. « Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps » Les prises de vue, grands formats, ont partiellement été publiées dans ses opus de poésies. Ses photos sont imprimées sur des supports nouveaux tels que l’aluminium et autres métaux similaires. « Se mettre en scène pour s’autophotograhier relève d’un exercice sportif, voire de la performance », précise Féline Harfang Cette dernière remet en question les standards liés à la photographie, notamment l’emblématique photographe de service exigeant la pose, le sourire ouistiti et les tenues descentes. Elle casse les codes de la mesure. Elle s’exprime en tant que femme libre, sans se soucier de la bienséance et de la bien-pensance, sans jouer pour autant les scandaleuses.

"Tout me donne à penser que des femmes comme Colette ou George Sand m’auraient encouragé dans mon art". Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps, vêtue ou dévêtue », conclut Féline Harfang. Ses autophotographies sont exposées à la grange au 6, route du Pin, à Gargilesse-Dampierre, tous les jours jusqu’à fin septembre, de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h. Entrée libre et gratuite. Contact : felineharfang@sfr.fr 

Prune sauvage

Prune sauvage

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Femme libre je suis.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Poèmes

Photos poèmes

Performances autophotographiques

Préface d' OSE

Mes poèmes ne commentent pas l'actualité, ils en découlent. Ils prennent racine dans mes rêves, dans mes fantasmes et les vôtres, dans mes délires et les vôtres, dans mes interrogations et les vôtres, dans ma folie et la vôtre.

Pardon de vous incriminer, je retire ce que j'ai écrit.

Mes poèmes naissent de l'air du temps et seulement de l'air du temps.

Par ailleurs, que mes photos se retrouvent sous cadre est un comble pour moi qui brise les codes et fuis tout enfermement.

En dehors d'un retour à l'antique, cette appropriation des cadres du passé offre un refuge  aléatoire à d'éphémères prises de vue.

Quoi qu'il en soit, n'est-ce pas rendre un juste hommage aux sculpteurs qui façonnaient les cadres et aux doreurs qui les ensoleillaient à la feuille d'or ?

N'est-ce pas au final une volte-face culturelle et temporelle à la gloire du Siècle des Lumières ?

Féline Harfang

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

JE M'INVISIBILISE

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Dans la presse, Source

Dans la presse, Source

Préface de SOURCE

En cette ère finissante où tout ne fut pas pastel et poésie... En cette ère illibérale. En cette ère coronavirale. En cette ère nouvelle d'orgie numérique où la célébration de l'intelligence artificielle devient un rituel... En cette ère accablée où la liberté d'expression est jugée liberticide et ressentie comme un faix, je me garde bien de questionner le pourquoi du comment de mes poèmes qui naissent résolument libres.

Quand en matière de créativité, la malséance le dispute à la bienséance, mieux vaut rejoindre le vaste monde des tabous réputés de bon goût. Tel n'est pas mon choix.

UNE ET NUE, je parcours la terra incognita, terre d'éblouissements où je fais tabula rasa de toute servitude grâce à Faunus, dieu champêtre et dansant rencontré dans un songe.

Féline Harfang

Maintenant

 Il y a longtemps

j'étais en quête d'êtres lunaires

il y a peu

j'étais fascinée par les êtres crépusculaires

présentement

je découvre et me révèle enfin

au contact d'êtres solaires. 

Féline Harfang

poème de l'opus Source 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

Escalader une ogresse. Autophotographies Féline Harfang. 2020
Courge dont je me coiffe
La bête
Destin incertain
Porter le monde ce n'est rien
ALLER. Autophotographie  de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

ALLER. Autophotographie de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

Préface de Séisme

Plutôt qu'emboîter le pas à une civilisation anémiée qui se gave de nourriture industrielle et de séries télévisées, je suis de plus en plus granivore, j'écris de plus en plus de poèmes réputés transgressifs, je publie de plus en plus de photos dites scandaleuses sans me soucier le moins du monde d'une stratégie de communication ou d'une inscription au fichier... Très sereinement, j'assume mes libertés... Aucun séisme n'ayant jusqu'alors impacté ma santé mentale, je fais la part des choses loin du vacarme ambiant. La créativité ne se décrète pas mais faut-il encore l'apprivoiser pour l'accueillir en soi, faut-il la canaliser pour que germent les graines, faut-il être pure et dure avec soi-même, et je m'efforce de l'être, pour que naissent images et idées force.

Féline Harfang

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

De grâce

Ose les geste osés

ose les mots purs et impurs

ose tout

mais ne me dis jamais 

je t'aime.

Feline Harfang, poème de l'opus OSE

de  l'autrice

CIME  2023

INTENSEMENT  2022

OSE   2021


Source       2020

Séisme      2019

Sable       2018

Incandescence      2017

Tourbillonnante     2016

Stridence      2015

Prohibé     2014

Eperdument    2013

Silex           2012

Soleil      2011

Force    2010

Paroxysme    2009

Lèvres       2008

Virgule   2007

Légendes incertaines   2006

Aurore aux portes de la nuit    2005

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Amputation

Le péril est imminent

suis en mode panique

on vient de m’amputer d’un organe vital

en extrayant de ma poche à mon insu

l’organe que je révère

le seul qui me relie à ma triste existence

on a piqué mon portable.

Tulipes

Tulipes

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

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Couverture de mon 16ème opus de poésies

Couverture de mon 17ème opus de poésies - autoédition Féline Harfang - août 2023

Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang

Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang

EXPOSITION EN HOMMAGE A LA FEMINITE ET A LA NATURE

Article de presse paru dans La Nouvelle Republique le 09/09/2022

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/commune/argenton-sur-creuse/exposition-en-hommage-a-la-feminite-et-a-la-nature

Indre. Gargilesse.

Féline Harfang, poétesse, performeuse et autophotographe, expose autoscénophotographies très grands formats. Féline Harfang a choisi d’exposer dans un lieu à l’état brut : LA GRANGE AUX FEES, la dernière grange du centre-bourg de Gargilesse-Dampierre, inscrit sur la liste des plus beaux villages de France. « Cette grange est restée dans son jus, sans jamais avoir été restaurée. Le sol est en terre battue, l’étable contiguë et le grenier à foin est comme dans l’ancien temps », indique Féline Harfang. Elle a choisi ce lieu privilégié par son authenticité pour exposer ses photos, poèmes et autophotographies, réalisées exclusivement par ses soins, en hommage à la féminité et à la nature. « Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps » Les prises de vue, grands formats, ont partiellement été publiées dans ses opus de poésies. Ses photos sont imprimées sur des supports nouveaux tels que l’aluminium et autres métaux similaires. « Se mettre en scène pour s’autophotograhier relève d’un exercice sportif, voire de la performance », précise Féline Harfang Cette dernière remet en question les standards liés à la photographie, notamment l’emblématique photographe de service exigeant la pose, le sourire ouistiti et les tenues descentes. Elle casse les codes de la mesure. Elle s’exprime en tant que femme libre, sans se soucier de la bienséance et de la bien-pensance, sans jouer pour autant les scandaleuses.

"Tout me donne à penser que des femmes comme Colette ou George Sand m’auraient encouragé dans mon art". Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps, vêtue ou dévêtue », conclut Féline Harfang. Ses autophotographies sont exposées à la grange au 6, route du Pin, à Gargilesse-Dampierre, tous les jours jusqu’à fin septembre, de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h. Entrée libre et gratuite. Contact : felineharfang@sfr.fr 

Prune sauvage

Prune sauvage

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Femme libre je suis.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Poèmes

Photos poèmes

Performances autophotographiques

Préface d' OSE

Mes poèmes ne commentent pas l'actualité, ils en découlent. Ils prennent racine dans mes rêves, dans mes fantasmes et les vôtres, dans mes délires et les vôtres, dans mes interrogations et les vôtres, dans ma folie et la vôtre.

Pardon de vous incriminer, je retire ce que j'ai écrit.

Mes poèmes naissent de l'air du temps et seulement de l'air du temps.

Par ailleurs, que mes photos se retrouvent sous cadre est un comble pour moi qui brise les codes et fuis tout enfermement.

En dehors d'un retour à l'antique, cette appropriation des cadres du passé offre un refuge  aléatoire à d'éphémères prises de vue.

Quoi qu'il en soit, n'est-ce pas rendre un juste hommage aux sculpteurs qui façonnaient les cadres et aux doreurs qui les ensoleillaient à la feuille d'or ?

N'est-ce pas au final une volte-face culturelle et temporelle à la gloire du Siècle des Lumières ?

Féline Harfang

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

JE M'INVISIBILISE

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Dans la presse, Source

Dans la presse, Source

Préface de SOURCE

En cette ère finissante où tout ne fut pas pastel et poésie... En cette ère illibérale. En cette ère coronavirale. En cette ère nouvelle d'orgie numérique où la célébration de l'intelligence artificielle devient un rituel... En cette ère accablée où la liberté d'expression est jugée liberticide et ressentie comme un faix, je me garde bien de questionner le pourquoi du comment de mes poèmes qui naissent résolument libres.

Quand en matière de créativité, la malséance le dispute à la bienséance, mieux vaut rejoindre le vaste monde des tabous réputés de bon goût. Tel n'est pas mon choix.

UNE ET NUE, je parcours la terra incognita, terre d'éblouissements où je fais tabula rasa de toute servitude grâce à Faunus, dieu champêtre et dansant rencontré dans un songe.

Féline Harfang

Maintenant

 Il y a longtemps

j'étais en quête d'êtres lunaires

il y a peu

j'étais fascinée par les êtres crépusculaires

présentement

je découvre et me révèle enfin

au contact d'êtres solaires. 

Féline Harfang

poème de l'opus Source 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

Escalader une ogresse. Autophotographies Féline Harfang. 2020
Courge dont je me coiffe
La bête
Destin incertain
Porter le monde ce n'est rien
ALLER. Autophotographie  de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

ALLER. Autophotographie de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

Préface de Séisme

Plutôt qu'emboîter le pas à une civilisation anémiée qui se gave de nourriture industrielle et de séries télévisées, je suis de plus en plus granivore, j'écris de plus en plus de poèmes réputés transgressifs, je publie de plus en plus de photos dites scandaleuses sans me soucier le moins du monde d'une stratégie de communication ou d'une inscription au fichier... Très sereinement, j'assume mes libertés... Aucun séisme n'ayant jusqu'alors impacté ma santé mentale, je fais la part des choses loin du vacarme ambiant. La créativité ne se décrète pas mais faut-il encore l'apprivoiser pour l'accueillir en soi, faut-il la canaliser pour que germent les graines, faut-il être pure et dure avec soi-même, et je m'efforce de l'être, pour que naissent images et idées force.

Féline Harfang

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

De grâce

Ose les geste osés

ose les mots purs et impurs

ose tout

mais ne me dis jamais 

je t'aime.

Feline Harfang, poème de l'opus OSE

de  l'autrice

OSE     2021

Source       2020

Séisme      2019

Sable       2018

Incandescence      2017

Tourbillonnante     2016

Stridence      2015

Prohibé     2014

Eperdument    2013

Silex           2012

Soleil      2011

Force    2010

Paroxysme    2009

Lèvres       2008

Virgule   2007

Légendes incertaines   2006

Aurore aux portes de la nuit    2005

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Amputation

Le péril est imminent

suis en mode panique

on vient de m’amputer d’un organe vital

en extrayant de ma poche à mon insu

l’organe que je révère

le seul qui me relie à ma triste existence

on a piqué mon portable.

Tulipes

Tulipes

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

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Couverture de mon 17ème opus de poésies - autoédition Féline Harfang - août 2023

Couverture de mon 16ème opus de poésies
Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang

Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang

EXPOSITION EN HOMMAGE A LA FEMINITE ET A LA NATURE

Article de presse paru dans La Nouvelle Republique le 09/09/2022

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/commune/argenton-sur-creuse/exposition-en-hommage-a-la-feminite-et-a-la-nature

Indre. Gargilesse.

Féline Harfang, poétesse, performeuse et autophotographe, expose autoscénophotographies très grands formats. Féline Harfang a choisi d’exposer dans un lieu à l’état brut : LA GRANGE AUX FEES, la dernière grange du centre-bourg de Gargilesse-Dampierre, inscrit sur la liste des plus beaux villages de France. « Cette grange est restée dans son jus, sans jamais avoir été restaurée. Le sol est en terre battue, l’étable contiguë et le grenier à foin est comme dans l’ancien temps », indique Féline Harfang. Elle a choisi ce lieu privilégié par son authenticité pour exposer ses photos, poèmes et autophotographies, réalisées exclusivement par ses soins, en hommage à la féminité et à la nature. « Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps » Les prises de vue, grands formats, ont partiellement été publiées dans ses opus de poésies. Ses photos sont imprimées sur des supports nouveaux tels que l’aluminium et autres métaux similaires. « Se mettre en scène pour s’autophotograhier relève d’un exercice sportif, voire de la performance », précise Féline Harfang Cette dernière remet en question les standards liés à la photographie, notamment l’emblématique photographe de service exigeant la pose, le sourire ouistiti et les tenues descentes. Elle casse les codes de la mesure. Elle s’exprime en tant que femme libre, sans se soucier de la bienséance et de la bien-pensance, sans jouer pour autant les scandaleuses.

"Tout me donne à penser que des femmes comme Colette ou George Sand m’auraient encouragé dans mon art". Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps, vêtue ou dévêtue », conclut Féline Harfang. Ses autophotographies sont exposées à la grange au 6, route du Pin, à Gargilesse-Dampierre, tous les jours jusqu’à fin septembre, de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h. Entrée libre et gratuite. Contact : felineharfang@sfr.fr 

Prune sauvage

Prune sauvage

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Femme libre je suis.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Poèmes

Photos poèmes

Performances autophotographiques

Préface d' OSE

Mes poèmes ne commentent pas l'actualité, ils en découlent. Ils prennent racine dans mes rêves, dans mes fantasmes et les vôtres, dans mes délires et les vôtres, dans mes interrogations et les vôtres, dans ma folie et la vôtre.

Pardon de vous incriminer, je retire ce que j'ai écrit.

Mes poèmes naissent de l'air du temps et seulement de l'air du temps.

Par ailleurs, que mes photos se retrouvent sous cadre est un comble pour moi qui brise les codes et fuis tout enfermement.

En dehors d'un retour à l'antique, cette appropriation des cadres du passé offre un refuge  aléatoire à d'éphémères prises de vue.

Quoi qu'il en soit, n'est-ce pas rendre un juste hommage aux sculpteurs qui façonnaient les cadres et aux doreurs qui les ensoleillaient à la feuille d'or ?

N'est-ce pas au final une volte-face culturelle et temporelle à la gloire du Siècle des Lumières ?

Féline Harfang

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

JE M'INVISIBILISE

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Dans la presse, Source

Dans la presse, Source

Préface de SOURCE

En cette ère finissante où tout ne fut pas pastel et poésie... En cette ère illibérale. En cette ère coronavirale. En cette ère nouvelle d'orgie numérique où la célébration de l'intelligence artificielle devient un rituel... En cette ère accablée où la liberté d'expression est jugée liberticide et ressentie comme un faix, je me garde bien de questionner le pourquoi du comment de mes poèmes qui naissent résolument libres.

Quand en matière de créativité, la malséance le dispute à la bienséance, mieux vaut rejoindre le vaste monde des tabous réputés de bon goût. Tel n'est pas mon choix.

UNE ET NUE, je parcours la terra incognita, terre d'éblouissements où je fais tabula rasa de toute servitude grâce à Faunus, dieu champêtre et dansant rencontré dans un songe.

Féline Harfang

Maintenant

 Il y a longtemps

j'étais en quête d'êtres lunaires

il y a peu

j'étais fascinée par les êtres crépusculaires

présentement

je découvre et me révèle enfin

au contact d'êtres solaires. 

Féline Harfang

poème de l'opus Source 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

Escalader une ogresse. Autophotographies Féline Harfang. 2020
Courge dont je me coiffe
La bête
Destin incertain
Porter le monde ce n'est rien
ALLER. Autophotographie  de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

ALLER. Autophotographie de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

Préface de Séisme

Plutôt qu'emboîter le pas à une civilisation anémiée qui se gave de nourriture industrielle et de séries télévisées, je suis de plus en plus granivore, j'écris de plus en plus de poèmes réputés transgressifs, je publie de plus en plus de photos dites scandaleuses sans me soucier le moins du monde d'une stratégie de communication ou d'une inscription au fichier... Très sereinement, j'assume mes libertés... Aucun séisme n'ayant jusqu'alors impacté ma santé mentale, je fais la part des choses loin du vacarme ambiant. La créativité ne se décrète pas mais faut-il encore l'apprivoiser pour l'accueillir en soi, faut-il la canaliser pour que germent les graines, faut-il être pure et dure avec soi-même, et je m'efforce de l'être, pour que naissent images et idées force.

Féline Harfang

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

De grâce

Ose les geste osés

ose les mots purs et impurs

ose tout

mais ne me dis jamais 

je t'aime.

Feline Harfang, poème de l'opus OSE

de  l'autrice

OSE     2021

Source       2020

Séisme      2019

Sable       2018

Incandescence      2017

Tourbillonnante     2016

Stridence      2015

Prohibé     2014

Eperdument    2013

Silex           2012

Soleil      2011

Force    2010

Paroxysme    2009

Lèvres       2008

Virgule   2007

Légendes incertaines   2006

Aurore aux portes de la nuit    2005

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Amputation

Le péril est imminent

suis en mode panique

on vient de m’amputer d’un organe vital

en extrayant de ma poche à mon insu

l’organe que je révère

le seul qui me relie à ma triste existence

on a piqué mon portable.

Tulipes

Tulipes

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

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Couverture de mon 16ème opus de poésies

Couverture de mon 16ème opus de poésies

Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang

Ma rencontre avec une faunesse. Autophotographie Féline Harfang

EXPOSITION EN HOMMAGE A LA FEMINITE ET A LA NATURE

Article de presse paru dans La Nouvelle Republique le 09/09/2022

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/commune/argenton-sur-creuse/exposition-en-hommage-a-la-feminite-et-a-la-nature

Indre. Gargilesse.

Féline Harfang, poétesse, performeuse et autophotographe, propose une exposition artistique de ses autophotographies très grands formats. Féline Harfang a choisi d’exposer dans un lieu à l’état brut : la dernière grange du centre-bourg de Gargilesse-Dampierre, inscrit sur la liste des plus beaux villages de France. « Cette grange est restée dans son jus, sans jamais avoir été restaurée. Le sol est en terre battue, l’étable contiguë et le grenier à foin est comme dans l’ancien temps », indique Féline Harfang. Elle a choisi ce lieu privilégié par son authenticité pour exposer ses photos, poèmes et autophotographies, réalisées exclusivement par ses soins, en hommage à la féminité et à la nature. « Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps » Les prises de vue, grands formats, ont partiellement été publiées dans ses opus de poésies. Ses photos sont imprimées sur des supports nouveaux tels que l’aluminium et autres métaux similaires. « Se mettre en scène pour s’autophotograhier relève d’un exercice sportif, voire de la performance », précise Féline Harfang Cette dernière remet en question les standards liés à la photographie, notamment l’emblématique photographe de service exigeant la pose, le sourire ouistiti et les tenues descentes. Elle casse les codes de la mesure. Elle s’exprime en tant que femme libre, sans se soucier de la bienséance et de la bien-pensance, sans jouer pour autant les scandaleuses.

"Tout me donne à penser que des femmes comme Colette ou George Sand m’auraient encouragé dans mon art". Le fait de ne pas être bridée me permet de m’exprimer avec mon corps, vêtue ou dévêtue », conclut Féline Harfang. Ses autophotographies sont exposées à la grange au 6, route du Pin, à Gargilesse-Dampierre, tous les jours jusqu’à fin septembre, de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h. Entrée libre et gratuite. Contact : felineharfang@sfr.fr 

Prune sauvage

Prune sauvage

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Article de presse dans La Nouvelle Republique du samedi 25 septembre 2021

Femme libre je suis.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Je chante. Quand le printemps renaît, je grimpe dans les arbres, parfois jusqu’à la cime où je chante. Autophotographie Féline Harfang.

Poèmes

Photos poèmes

Performances autophotographiques

Préface d' OSE

Mes poèmes ne commentent pas l'actualité, ils en découlent. Ils prennent racine dans mes rêves, dans mes fantasmes et les vôtres, dans mes délires et les vôtres, dans mes interrogations et les vôtres, dans ma folie et la vôtre.

Pardon de vous incriminer, je retire ce que j'ai écrit.

Mes poèmes naissent de l'air du temps et seulement de l'air du temps.

Par ailleurs, que mes photos se retrouvent sous cadre est un comble pour moi qui brise les codes et fuis tout enfermement.

En dehors d'un retour à l'antique, cette appropriation des cadres du passé offre un refuge  aléatoire à d'éphémères prises de vue.

Quoi qu'il en soit, n'est-ce pas rendre un juste hommage aux sculpteurs qui façonnaient les cadres et aux doreurs qui les ensoleillaient à la feuille d'or ?

N'est-ce pas au final une volte-face culturelle et temporelle à la gloire du Siècle des Lumières ?

Féline Harfang

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

Cuivre rouge. Autophotographie de Féline Harfang. Dans l'opus de poésies OSE

JE M'INVISIBILISE

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Article de presse dans l'Echo du Berry du jeudi 16 septembre 2021

Dans la presse, Source

Dans la presse, Source

Préface de SOURCE

En cette ère finissante où tout ne fut pas pastel et poésie... En cette ère illibérale. En cette ère coronavirale. En cette ère nouvelle d'orgie numérique où la célébration de l'intelligence artificielle devient un rituel... En cette ère accablée où la liberté d'expression est jugée liberticide et ressentie comme un faix, je me garde bien de questionner le pourquoi du comment de mes poèmes qui naissent résolument libres.

Quand en matière de créativité, la malséance le dispute à la bienséance, mieux vaut rejoindre le vaste monde des tabous réputés de bon goût. Tel n'est pas mon choix.

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UNE ET NUE, je parcours la terra incognita, terre d'éblouissements où je fais tabula rasa de toute servitude grâce à Faunus, dieu champêtre et dansant rencontré dans un songe.

Féline Harfang

Maintenant

 Il y a longtemps

j'étais en quête d'êtres lunaires

il y a peu

j'étais fascinée par les êtres crépusculaires

présentement

je découvre et me révèle enfin

au contact d'êtres solaires. 

Féline Harfang

poème de l'opus Source 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

article de presse paru dans l'Echo du Berry du 10 septembre 2020

Escalader une ogresse. Autophotographies Féline Harfang. 2020
Courge dont je me coiffe
La bête
Destin incertain
Porter le monde ce n'est rien
ALLER. Autophotographie  de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

ALLER. Autophotographie de Féline Harfang. Argenton-sur-Creuse, Le Merle Blanc.

Préface de Séisme

Plutôt qu'emboîter le pas à une civilisation anémiée qui se gave de nourriture industrielle et de séries télévisées, je suis de plus en plus granivore, j'écris de plus en plus de poèmes réputés transgressifs, je publie de plus en plus de photos dites scandaleuses sans me soucier le moins du monde d'une stratégie de communication ou d'une inscription au fichier... Très sereinement, j'assume mes libertés... Aucun séisme n'ayant jusqu'alors impacté ma santé mentale, je fais la part des choses loin du vacarme ambiant. La créativité ne se décrète pas mais faut-il encore l'apprivoiser pour l'accueillir en soi, faut-il la canaliser pour que germent les graines, faut-il être pure et dure avec soi-même, et je m'efforce de l'être, pour que naissent images et idées force.

Féline Harfang

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Loup. Je n’ai pas vu venir le loup. Il m’a protégée alors que j’étais perdue dans mes songes. J’ai retrouvé la paix intérieure depuis qu’il m’a adoptée.

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

Article de presse paru dans la Nouvelle République du 22 septembre 2019

De grâce

Ose les geste osés

ose les mots purs et impurs

ose tout

mais ne me dis jamais 

je t'aime.

Feline Harfang, poème de l'opus OSE

de  l'autrice

CIME   2023

INTENSEMENT  2022

OSE     2021

SOURCE  2020

SEISME  2019

SABLE  2018

INCANDESCENCE 2017

TOURILLONNANTE 2016

STRIDENCE 2015

PROHIBE 2014

EPERDUMENT 2013

SILEX 2012

FORCE  2010

PAROXYSME 2009

LEVRES 2008

VIRGULE 2007

LEGENDES INCERTAINES 2006

AURORE AUX PORTES DE LA NUIT 2005

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Je ne sais pas qui m’a le plus plu. La torpédo grand sport m’a sidérée,
la fourmi rouge m’a fascinée.

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Points cardinaux. La célébration de mon mariage avec la nature a tourné court. Au coeur de la forêt, je me suis retrouvée cernée par des sens interdits aux quatre points cardinaux. La psychomagie aidant, ils ont disparu et la célébration a eu lieu. Autophotographie dans la forêt de Châteaubrun (au centre des sens interdits, le dernier espace de liberté, oeuvre de Guy Baudat).

Amputation

Le péril est imminent

suis en mode panique

on vient de m’amputer d’un organe vital

en extrayant de ma poche à mon insu

l’organe que je révère

le seul qui me relie à ma triste existence

on a piqué mon portable.

Tulipes

Tulipes

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Ce n’était ni un rêve, ni un cauchemar, encore moins un songe…
Semi-consciente, je poussais une brouette sur
un chemin de vie.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.

Tout a commencé dans ce grenier de la maison de la Liberté à Velles. Ma mère, à ses heures poétesse, artiste, peintre naïve colorisait son existence avec ses toiles. Mon père cultivait un potager fantastique. Les animaux étaient sacrés rois. Mon accession au bonheur et à ma vérité sont sans limites. Dans mes poèmes qui ne sont pas autobiographiques, je sème le trouble . Dans mes autophotographies, je sème parfois la panique. C'est parce que je suis MOI.